Bureau Présidentiel

Julien Boncoeur

C'est ma ville d'origine Monsieur et elle a ete abandonee de l'UDR. Je vais donc la leur reprendre! Elle me servira de tramplin pour les futures echeances internes du FCF.

Jean Coty

Bien, bien... Je vous souhaite bonne chance.

Je ne vais pas vous retenir plus longtemps, vous devez vous rendre à la cérémonie je crois.

Un Hubert s’apprêta à le raccompagner

Jean Coty

Ha au fait, un conseil: ne vous attachez pas trop en public à Lee, je ne suis pas aveugle et je sais bien qu'elle ne tardera pas à sauter.

Julien Boncoeur:

Ne vous inquiétez pas pour moi Monsieur le Président.

Cela dit y en a un autre que je veux tuer avant de tuer Lee.... *sourire mystérieux*

Florent Evreyël envoya un texto à Julien Boncoeur.

Florent Evreyël
Ah, au fait, merci. Grâce à toi, je suis devenu président du Conseil Local d'Evrain ! :>

Papy Stefan Andaerlaerktens
Je souhaite réellement voir Monsieur Coty.

Dominique Landry, Présidente du Parlement :

Monsieur le Président ?

Jean Coty

Ha Madame Landry! Quelle journée mais n'est ce pas une bonne journée pour lancer de grandes réformes?

Bon, je ne vais pas aller par 4 chemins. Je vais faire une grande réforme constitutionnelle et j'ai veux, pour cela, de réunir un comité national. Parmi ce comité, j'aimerais avoir 2 députés de la Représentation nationale.

Aussi j'aimerais que vous procédiez à leur élection au Parlement.

Papy Stefan Andaerlaerktans
Monsieur le Président, vous êtes là ! Que les dieux vous bénissent ! Pouvons-nous discuter ?

Jean Coty s'énerva

Jean Coty

Bon sang! J'ai des choses très importantes à faire! MARIE-HELENE! Vous pouvez évitez que n'importe qui entre dans mon bureau?!

Monsieur, vous sortez, on se verra a un autre moment! Ha vous voilà, Marie-Helène, vous appellez Grochin et lui dîtes qu'il est scandaleux que sous un niveau d'alerte DIF orange on puisse entrer comme ça au Palais!

L'homme semble vouloir répondre

Venez à un autre moment, avec un rendez-vous. La prochaine fois que vous entrez dans mon bureau comme ça, en plein sommet avec le N°2 du pays, vous irez passer la nuit chez les services secrets.

Bon sang! Il y a des règles!

Papy Stefan Andaerlaerktens
ALLEZ VOUS FAIRE *** ! PRÉSIDENT, MON *** ! VOUS MÉRITEZ DE CREVER ! OSER PARLER COMME CA AUX GENS, NAN MAIS HÔ !!! PIRE QUE MA GRAND-MÈRE ET PIRE QUE KIKOJIRO !

Et puis, cher monsieur, vous vous prétendez supérieur aux autres, car vous êtes soit disant le n°2 du pays. Et bien, vous savez ce que je vous répond ? Je vous KRASHTZEIL au nez, car le Peuple est bien plus puissant que vous. C'est grâce à lui que vous êtes actuellement en train de vous asseoir sur une chaise à insulter les gens !

Donc, Président, vous ne méritez pas d'être ici ! Que les dieux vous KRASHTZEIL au nez ! Bien, vu que vous ne voulez pas parlez avec moi, je vais aller déclarer l'indépendance de Ogustiano moi-même.

Jean Coty

Et vous n'avez pas le droit d'être ici. C'est parce que je suis Président de la République qu'il y a un système de sécurité à respecter.

La sécurité et des gendarmes arrivent pour emmener l'homme.

Hubert : Monsieur le Président, vous êtes un peu fatigué, le "Papy" est déjà parti à Ogustiano. Je vous invite à boire un peu d'eau, histoire de reprendre vos forces. Cette histoire de DIF orange vous a beaucoup fatigué, dis-donc...

Jean Coty a écrit:Jean Coty

Ha Madame Landry! Quelle journée mais n'est ce pas une bonne journée pour lancer de grandes réformes?

Bon, je ne vais pas aller par 4 chemins. Je vais faire une grande réforme constitutionnelle et j'ai veux, pour cela, de réunir un comité national. Parmi ce comité, j'aimerais avoir 2 députés de la Représentation nationale.

Aussi j'aimerais que vous procédiez à leur élection au Parlement.

Dominique Landry :

Très bien, Monsieur le Président. Deux députés seront élus par le Parlement pour siéger à votre comité national en vu d'une réforme constitutionnelle.

Fiona Lee:

Monsieur nous avons trouvé ceci:

Cher Président de la République

Je lance un ultimatum de 24 heures aux autorités administratives de la Francovie pour qu'ils se mettent d'accord sur une éventuelle union stratégique entre nos deux nations (type U.-E.). Passé ce délai, nous considérerons que vous ne voulez point discuter avec nous au sujet d'Ogustiano, par conséquent, nous nous détacherons législativement de la Nation (nous garderons cependant les législations économiques de la Francovie).

Merci, cher Président,
Et mes sincères excuses pour l'incident que j'ai commis à votre insu

Les gens d'Evrain, me semble-il n'ont pas a vous poser d'ultimatum, voulez-vous que je réagisse et dise que Evrain et son île font parti de la Francovie, ne sont pas autonomes et n'ont pas a poser d'ultimatum a la République?

Jean Coty

Répondez que la République ne se soumet à nul ultimatum, que le dialogue démocratique ne peux pas être sous la menace.

Réunissez le conseil de défense, aussi.

Fiona Lee

Monsieur le President, etiez-vous au courent des informations du General Lefesbure et de la conferrence de presse qu'elle a tenu?

Jean Coty

Non, et elle prendra la porte après l'opération en cours.

Fiona Lee

C'est ce que j'aller vous proposer Monsieur,

Le Directeur Grochin arriva devant le bureau du directeur du cabinet du Président de la République :

Bonsoir , le Président de la République m'a convoqué.

Le Directeur Grochin :

Au vue de l'interet general de la Nation , nous pouvons intervenir très rapidement sans aucune autorisation necessaire.
Cependant , il faut que le Président nomme un chef incontestable entre moi ou la Generale , il faut qu'il y ai une hierarchie claire et sans equivoque pour qu'il n'y ai pas de téléscopage.

Ainsi le chef pourra organiser l'opération voulue.

La Secrétaire:


Concernant la sécurité du Président, elle est soumise à la cellule fantôme. Dardieu-Lefesbure dirige la protection des institution mais elle sera sous vos ordres pour les inteventions militaire contre Quantum.

L'objectif principal est Clic FM a cette heure.

Directeur Grochin :

Bien , il me faudrait une autorisation du Président en personne , je ne peux pas tenir compte du seul ordre de la Secretaire General des Louvrières.

La Secretaire lui remit le decret du DIF Rouge.

Directeur Grochin :


Très bien j'y vais de ce pas.