Investiture de Jean Coty

Mes chers concitoyens,

Monsieur le Président de la Cour Suprême,

Francovars, Francovares,

Une Présidence s'achève, une autre commence. Tel est la continuité du pouvoir dans un Etat démocratique tel que le notre. Le pouvoir, celui du Président de la République investit du manteau de la Souveraineté Nationale par le scrutin populaire, n'a de sens et d'utilité que lorsqu'il est utilisé dans l'intérêt de la nation, de la Francovie et de notre peuple.

J'ai entendu des inquiétudes quand à notre élection. Si mon élection en est la source, il est du devoir du Président de la République d'y mettre fin par le dialogue démocratique. Durant mon mandat, tous seront entendu, tous auront le droit de parole, tous seront écouté. Mais dialogue ne veut pas dire que la République en sera moins ferme. Nulle opposition, si elle réside en une violence de quelques factieux, ne saurait tenir face à la République. La violence, le crime, le terrorisme de certains doivent plier face à la République et son peuple.

Aussi il est de mon engagement premier, celui que devrait faire tout Président de la République: Maintenir la cohésion nationale et faire respecter la République par le dialogue démocratique.

Cela vaut sur le plan intérieur mais aussi sur le plan extérieur. Certains accords ont été passé de façon non officielle et on été appliqué sans consentement de la Représentation Nationale ni du peuple. Je ne nie pas que ces accords pourraient être bénéfiques. Mais en l'état, ils ne sont pas recevable. C'est pourquoi je lancerais une discution avec le Krassland sur cette grille Schweinwaldienne. Il n'est pas question de remettre en cause leur système, car cela violerais leur Souveraineté, mais de voir quelles mesures pourraient permettre d'ouvrir des relations économiques fortes, équitables, équilibré entre nos deux nations. C'est dans un esprit d'amitié mais aussi d'équilibre des relations que je me trouve.

Enfin, cette Présidence doit être celle du changement. Nous voulons une nouvelle société. Une société ouverte, tolérante mais sans heurter les traditions. Il faut bousculer les traditions pour que nous soyons en phase avec notre temps et l'esprit de l'égalité entre tous, de la liberté et de la solidarité fraternelle qui nous unissent. Bousculer oui, mais ne pas violer ces traditions car elles font partie de notre identité. Mais cette identité doit évolué car la Francovie, ce n'est pas une société eugénique où nous sommes tous pareils. Chaque citoyen à une histoire s'inscrivant dans celle de notre grande Nation. Est-il normal qu'une personne doive subir les idées d'une autre personne? Est-il normal d'exclure au nom de la tradition? Nous devons aller vers le progrès et c'est justement le dialogue national et démocratique qui permettra d'unir la Nation autour de ce progrès.

Mes chers concitoyens, 

J'ai l'intime conviction que nous pouvons dépasser le stade qui est le nôtre. Je pense que nous pouvons faire de grande choses si nous y travaillons tous ensemble. Je pense que la Grandeur de la Francovie passe par le travail de chacun, que chacun, individuellement, peut participer à ce travail collectif. Car l'investissement de chacun participe à la promotion de tous, et que l'investissement de Tous participe à la promotion de chacun.

Francovars, Francovares,

Je mesure la tâche qui m'attend. Je mesure l'honneur que vous m'avez fait en me confiant cette tâche. J'espère que je saurais en être digne.

Pour que vive la République et Vive la Francovie.