écrit par Thomas Dumouriez, historien et écrivain et Rémipolisois de longue dateHISTOIRE DE RÉMIPOLISLivre I : De la préhistoire à l'Antiquité
Les premières traces d'occupations du territoire de notre ville datent du IVème siècle avant notre ère, le territoire occupé aujourd'hui par la ville de Rémipolis ressemblait alors à ça :
Lorsque les premiers des rémipolisois ont aperçus du haut de la montagne sud cette grande plaine où sont disponibles toutes les matières premières nécessaire à la prospérité, ils ont tout de suite élu domicile sur les rives des rivières ou sur les collines côtières. La tribu qui s'est installé ici s'appellait les Tërranïars. Ils étaient de féroces combattants dont les luttes internes ont empêchés le développement économique de cette région si prometteuse pendant des siècles. Mais elles ont assurés à se peuple une robustesse unique et une intelligence militaire qui sera la marque de fabrique de leurs descendants.
Mais en -53, un dignitaire roman haut placé appellé Civilis établit sa villa au sommet de la colline dominant la presqu'île. Cette colline prit le nom de son possésseur et elle attira plus tard des colons romans qui vont s'établir dans de petits villages de pêcheurs autour de la presqu'île. Doucement mais sûrement, ces 2 peuples, les romans et les Tërranïars, pourtant si différents vont se métisser tout en gardant un taux de fécondité très élevé.
En l'an 213, les Tërranïars s'engagent massivement auprès de Othon Dégoulin pour la libération de toute la Francovie, car même si l'occupation romane était pacifique et bénéfique chez eux, des vagabonds leur ont rapportés qu'elle l'était beaucoup moins ailleurs. Les romans vivant dans le coin ont étonnement soutenu cette révolte, car ils avaient tous une bonne partie de leurs sangs issus des Tërranïars ! Ainsi, les Tërranïars participèrent activement à la victoire sur le plaine du champs des merles. Le chef de la tribu Tërranïar s'appellait en 213 Aïurix Kaulus, il avait un peu de sang roman qui coulait dans ses veines, mais il avait surtout la force Tërranïar dans ses bras, et surtout, le patriotisme francovar berçait son esprit. Il s'est imposé comme un des hommes forts du premier conseil de clan.
Plusieurs décennies plus tard, la région était pacifiée mais les différents villages refusaient toujours de se regrouper en une seule métropole contrairement à ce qui se voyait ailleurs en Francovie, pourtant la population grandissante contribuait largement à la hausse de la démographie francovare.
Et c'est ainsi qu'en l'an de grâce 259, 10 000 soldats du compte Hubert de Mezzanine déferlent leurs haines et leurs violences sur tous les villages du nord de la presqu'île. L'armée de Hugues Kaulus étant trop divisée entre ses différentes places forte ne put intervenir efficacement contre cette attaque surprise et subissa de lourdes pertes. Les populations civiles convergèrent vers la butte Civilis dont les pentes rocailleuse les protègeront des envahisseurs. Environ un quart de la population est tuées durant les raids et la moitié de l'armée Tërranïars est détruite dans cette "bataille" qui était en fait un ensemble de raids et d'escarmouches qui dureront plusieurs semaines.
Suite à cette débacle, les habitants prennent conscience de leurs vulnérabilité, et beaucoup d'entres eux décident de s'établlir sur la butte Civilis, mais les pêcheurs et les agriculteurs restèrent loin de la butte. C'est ainsi que naquit la première vraie ville de la région.À Suivre...
HRP : J'écrirai mon truc toujours ici dans un premier temps parce que c'est plus pratique que sur le Wiki. Mais après l'avoir fait ici je copie-collierai sur le Wiki .
Dernière édition par Rémi DE KAULLE le Jeu 28 Fév - 15:00, édité 1 fois