Interview Politique
Interview du Premier Minsitre, Nicolas Vasseur
Bonjour monsieur le Premier Ministre, merci d'avoir accepté notre invitation.Merci à vous.
C'est votre première interview médiatique depuis votre début de mandat de Premier Ministre. Pourquoi avoir choisit de sortir un peu du silence ?Car je pense qu'il était de mon devoir de faire déjà un point sur la situation de mon gouvernement, des projets, des réformes qui ont été et qui vont être engagées. Je me dois d'éclairer les francovars.
Donc, votre gouvernement semble avoir passé à la vitesse supérieure. Le Parlement a adopté la loi sur le fonctionnement de l'éducation et la réforme de la sécurité.Oui, je suis d'ailleurs très satisfait de l'adoption de ces deux textes. La loi sur le fonctionnement de l'éducation était nécessaire. Il fallait que nous fixions une bonne fois pour toute notre système éducatif. La Réforme de la Sécurité est excellente. Je l'avais promise, elle est là. En améliorent les investissements contre la délinquance, en donnant aux Clans tout les leviers nécessaire pour faire baisser la délinquance, en créant une véritable population carcérale, nous avons fait un excellent travail et je tiens à félicité le Ministre de l'Intérieur et de la Justice, Vincent Lacombe pour la rédaction de cette réforme. Mon gouvernement restera comme celui qui aura fait véritablement baisser significativement la délinquance. Car en effet, tous les indicateurs portent à croire que notre réforme va faire chuter vertigineusement la délinquance.
Que pensez-vous de la loi, qui a été adoptée, sur la création du Salaire Minimum d'intérêt francovar, dit SMIF ?Je tiens d'abord à saluer l'initiative du député travailliste, Clovis Bogendorfer. j'étais personnellement favorable à la création d'un salaire minimum, mais j'étais quelque peu réticent aux obligations que comportait le texte de loi original, mais des amendements ont été votés, et cette loi me satisfait donc complétement. La Francovie a passé je le pense, un cap avec cette loi.
Le débat sur cette loi a tout de même été assez vif. Pourquoi selon vous ?Un choc d'idéologie a eu lieu lors de ce débat. Nous avons tous des idées, des convictions, des valeurs différentes, c'est que qui fait la force de notre démocratie. Et c'était donc normal que plusieurs points de vues différents émanaient lors de ce débat d'importance.
Actuellement, le gouvernement propose au Parlement une loi sur la protection de la jeunesse, le Budget d'octobre et le livre blanc de la défense. Oui, et c'est très important. Je salue le travail de la Ministre de la Culture pour cette loi, qui devait être mise en place, pour protéger notre jeunesse des médias non adaptés, alors que les médias sont en fort développement ces temps-ci. Le budget d'octobre est notre colonne vertébrale pour ce mois-ci. Il comporte un excédent important et subventionne tous les secteurs. Il doit être appliqué, il en va de l'intérêt général. Enfin, le Livre Blanc du ministre Demarchet, comporte l'essentiel des décisions en matière de défense prise par le Président et le Ministre. L'Etat renforcera son armée, tout en alimentant l'économie nationale. Nous avons besoin de ce livre pour appliqué notre politique de défense nationale.
Quels sont les projets à court terme du gouvernement ?Le gouvernement va bientôt lancer le rapport de la délinquance d'octobre. Nous prévoyons une baisse importante de la délinquance. Le calcul va être revu, pour corriger les erreurs successives de nos prédécesseurs. Nous travaillons actuellement sur la construction de plusieurs voie ferroviaires, ansi qu'une réforme de l'immigration qui incluera le Brevet Citoyen, promis depuis longtemps par tous. Nous serons ceux qui l’appliquerons. Je suggérerai également au conseil des ministre une réforme du travail, que j'avais promise, qui comportera la création d'un calcul du chômage, la création d'agence pour l'emploi et de centres de formations.
Parlons maintenant, affaires étrangères. Des troupes francovares sont encores stationnées au Skotinos. Ce dernier à lancé un ultimatum à notre pays, qui expire ce soir, pour retirer nos troupes. Mais, aucune réaction de la Francovie. Ce n'est pas censé être votre domaine, le Président et le hef des armées et de la diplomatie, mais vous êtes le garant de la défense nationale. Mais, le Président est quelque peu absent ?Le Skotinos nous a en effet lancé un ultimatum. Mais, malheureusement, le Président est quelque peu... inactif ou absent. Nous avons très peu de nouvelles. Je souhaite que son retour soit rapide. Mais, comme vous l'avez bien dit, malgré le fait qu'il soit le chef des armées, je suis le garant de la défense nationale, et ce qui se passe au Skotinos, peu avoir des conséquence, sur la défense nationale et sur la sécurité de chacun. Si le Président ne réagit pas, je prendrai mes responsabilités, et j'agirai en conséquence, dans l'intérêt de la paix. Nous ne voulons en aucun cas d'un conflit quelconque avec le Skotinos. Nous voulons que la paix perdure. C'est pourquoi, si le Président ne réagit donc pas, j'annoncerai le retrait de notre troupes stationnées au Skotinos. La guerre est finie, et il est grand temps pour notre braves soldats, de rentrer au pays. Nous ne jouerons pas avec le feu. J'espère tout de même, que le Président sera présent, pour choisir lui même, en son rôle, les décisions à prendre. Mais, si c'était nécessaire, je serai là.
Parlons un poil politique monsieur le Premier Ministre. Comment se déroule votre collaboration avec le Président Kikojiro ? On dit que votre rivalité de la dernière présidentielle n'est pas résorbée, et que vous pensez tout deux à vous ré-affronter dans une prochaine élection.C'est faux. Nous travaillons ensemble en bonne intelligence dans l'intérêt de la Francovie. Il n'y a aucun calcul politicien dans nos actes et dans nos décisions. Car je sais que les calculs politiciens et hypocrites nous sont interdits pour diriger la Francovie de la meilleure des manières.
Merci Monsieur le Premier Ministre, de nous avoir accordé cette interview.Je vous remercie.