Damien Maréchal, récemment nommé à la sécurité au conseil municipal, fut chargé de gérer les manifestants qui devenaient de plus en plus nombreux. Ils n'étaient environ qu'une cinquantaine (200 selon les organisateurs), mais il fallait veiller à ce que la situation ne dégénère pas.
Les forces de police encadraient les points stratégiques de la ville, à commencer par la mairie. D'autres hommes furent envoyés non loin des différents sièges sociaux des entreprises francovares qui s'étaient installées à Micropolia et à proximité des écoles.
La municipalité avait insisté sur la nécessité de ne pas faire de provocations à l'égard des manifestants, mais ceux-ci devaient savoir qu'elle était prête à toute éventualité.